Comment choisir le prénom de votre futur enfant ?
L’arrivée de Junior est maintenant imminente et vous ne savez toujours pas comment l’appeler ? Super Daron et Daronne se déchirent pour savoir le prénom de quelle grand-mère l’emportera ? Papa a toujours rêvé d’appeler son premier né Heineken mais Maman n’est pas d’accord ? No stress, on vous donne 3 astuces complètement absurdes mais imparables (ou presque) pour choisir le prénom de votre enfant à naître.
Le saviez-vous : 71 % des futurs parents choisissent le prénom de leur enfant pendant la grossesse, 24 % avant même la conception et 5 % seulement à la naissance.
Astuce n°1 : tirer le prénom au sort
Fallait y penser, non ? Découpez des bouts de papier avec les derniers prénoms en lisse. Prenez une main innocente, donc ni vous, ni votre femme mais ce peut être votre facteur ou votre voisine. Que cette main innocente attrape un papier et le lise à voix haute. Vous aurez le prénom de votre enfant. Et comme vous savez qu’il n’y a pas de hasard, vous acceptez avec fair-play le choix du sort. Le risque ? Une guerre des nerfs avec votre copine qui n’acceptera pas votre victoire , pourtant légitime, avec « Heineken ».
Astuce n°2 : faire confiance au calendrier
Alors vous, vous n’avez même pas d’idée. Alphonse ou Kévin, quelle différence ? Vous êtes complètement perdus. Dans ce cas, on a la solution. Attrapez un calendrier avec le nom des Saints. Fermez les yeux. Pointez un jour avec votre doigt. Ouvrez les yeux. Vous aurez le prénom de votre enfant. Le risque ? Pointer la table au lieu du calendrier, ce qui ne vous avancera clairement à rien, ou devoir l’appeler Fête Nationale.
Astuce n°3 : lui demander son avis
Responsabilisez votre enfant dès son entrée dans le monde en lui proposant de choisir son prénom. C’est un pari risqué mais vous pouvez essayer. Préparez tout de même une short-list de prénoms pour ne pas y être encore à ses 18 ans. Le risque ? Interpréter les signes chez un nouveau-né peut être compliqué : ce froncement de sourcils est-il un « non, je ne souhaite pas m’appeler Adolphe » ou un « je pousse, va bientôt falloir changer ma couche » ? Toutefois la méthode est intéressante car vous pourrez lui rétorquer qu’il a choisi son prénom s’il vous dit un jour qu’il le trouve nul.
Tiens, ça nous intéresse d’ailleurs : et vous, comment avez-vous choisi le prénom de votre enfant ? Et surtout, qui a choisi ?