L’éducation positive : c’est quoi ?
L’éducation positive c’est le contraire de l’éducation négative. Voilà, c’est tout pour nous ! Vous voulez plus d’informations ? Okay, alors intéressons-nous à ce concept, aussi appelé «éducation bienveillante ». Qu’est-ce que c’est ? Comment l’appliquer à votre bambin ? Quels sont les 5 commandements de l’éducation positive ?
Le saviez-vous ? Cette méthode est parfois appelée « discipline positive ».
1- Bienveillant mais ferme tu seras
Si l’éducation positive bannit les fessées, le chantage, les menaces et les punitions, ce n’est pas non plus la porte ouverte à toutes les fenêtres. Si vous lisez bien, dans éducation positive il y a « éducation » et non pas « laisser Junior faire ce qu’il veut ». De la bienveillance oui ! Mais avec des règles et un cadre ! De la douceur et de la fermeté (la main de fer, le gant de velours).
2- Tu ne crieras point !
L’éducation positive fait la part belle à la communication non violente. Si l’enfant a fait une bêtise, on ne lui hurle pas dessus. S’il a transgressé une règle, on lui explique laquelle et comment il peut vous aider à réparer la bêtise (quand c’est possible). Cela vaut pour les disputes entre frères et sœurs. Vous pouvez prendre exemple sur Kate Middleton qui a instauré un « canapé de discussion » à Buckingam Palace !
3- Les punitions tu éviteras
L’éducation positive proscrit la punition. Il n’est pas question de frapper l’enfant ou de l’envoyer au coin comme au début du 19ème siècle. En cas de bêtise, bis répetita, on cherche à comprendre pourquoi et l’on propose à l’enfant de la réparer.
Nous déconseillons donc vivement la fessée sur les enfants. En revanche, vous pouvez la garder pour vos soirées interdites aux moins de 18 ans.
4- L’enfant tu encourageras
L’éducation positive demande de passer du temps avec son enfant. Si vous êtes trop occupés, vos petits risquent de faire des colères car ils ont besoin de leurs darons. Ils demandent ainsi de l’attention avec les moyens du bord !
Il s’agit donc d’accompagner l’enfant dans ses jeux, de faire des activités avec lui, et de l’aider à faire plutôt que de faire à sa place. Considérez bébé comme un stagiaire dans la famille : si vous faites tout le travail pour lui, il n’aura rien appris à la fin !
5- Les besoins de l’enfant tu écouteras
Le loupiot tape sa plus belle colère ? Il sanglote comme si son doudou préféré venait de mourir ? Oui, Junior est peut-être une vraie Drama Queen, mais peut-être que non. Lui demander d’arrêter n’est pas une solution. Vous aimez qu’on vous dise de vous taire quand vous êtes énervé ou triste, vous ? S’il a besoin de pleurer, accompagnez-le, dites lui que c’est OK de se décharger, vous pouvez le prendre contre vous pour le rassurer.
The last but not least ! Vous savez que chez Nin-Nin, on aime pas la pression en dehors d’une chope ! Alors zen … On est pas des parents parfaits, parfois on a les nerfs qui lâchent alors on crie un peu, parfois on est pressés alors on bouscule un peu les pitchounes. Le tout c’est de progresser ensemble : les Super-darons, les Super-daronnes et bébé !